Comment ai je pu laisser passer une si belle photo sans l'admirer ?somptueuses couleurs de l'automne , belle lumière et bons reflets .Très beau travail Joëlle !
Musique :Gabriele Fauré – Paroles : Armand Sylvestre
Automne au ciel brumeux, aux horizons navrants,
Aux rapides couchants, aux aurores pâlies,
Je regarde couler, comme l'eau du torrent,
Tes jours faits de mélancolie.
Sur l'aile des regrets mes esprits emportés,
Comme s'il se pouvait que notre âge renaisse !
Parcourent en rêvant les coteaux enchantés,
Où, jadis, sourit ma jeunesse !
Je sens, au clair soleil du souvenir vainqueur,
Refleurir en bouquet les roses déliées,
Et monter à mes yeux, des larmes, qu'en mon coeur
Mes vingt ans avaient oubliées !
Joëlle Millet 17/02/2018 4:53 Commento di voto
Merci Emilio pour ta propositionMerci à tous les votants
Harald. Brede 17/02/2018 4:53 Commento di voto
PROAnita Jarzombek-Krauledies 17/02/2018 4:53 Commento di voto
PROmike snead 17/02/2018 4:53 Commento di voto
pNiccolo Dossarca ( oder auch u.a. JürgenStrötgen oder js ode 17/02/2018 4:53 Commento di voto
+Sabine Onken 17/02/2018 4:53 Commento di voto
+Ottmar Niessen 17/02/2018 4:53 Commento di voto
PJX 17/02/2018 4:53 Commento di voto
+++ PRO +++Die Mohnblumen 17/02/2018 4:53 Commento di voto
+++PRO+++claudine capello 17/02/2018 4:53 Commento di voto
pro† Riccardo d'Alterio 17/02/2018 4:53 Commento di voto
PRO x EmilioPRO x Joelle
groc 17/02/2018 4:53 Commento di voto
+Emilio Sirletti 17/02/2018 4:53 Commento di voto
Buena suerte Joëlle!dominati simone 23/12/2017 20:01
Comment ai je pu laisser passer une si belle photo sans l'admirer ?somptueuses couleurs de l'automne , belle lumière et bons reflets .Très beau travail Joëlle !g.paul 04/12/2017 14:33
https://www.youtube.com/watch?v=7A-2CP-GMM8L’Automne
Musique :Gabriele Fauré – Paroles : Armand Sylvestre
Automne au ciel brumeux, aux horizons navrants,
Aux rapides couchants, aux aurores pâlies,
Je regarde couler, comme l'eau du torrent,
Tes jours faits de mélancolie.
Sur l'aile des regrets mes esprits emportés,
Comme s'il se pouvait que notre âge renaisse !
Parcourent en rêvant les coteaux enchantés,
Où, jadis, sourit ma jeunesse !
Je sens, au clair soleil du souvenir vainqueur,
Refleurir en bouquet les roses déliées,
Et monter à mes yeux, des larmes, qu'en mon coeur
Mes vingt ans avaient oubliées !