L' ATTENTE Foto % Immagini| 01-09-2020, digiart Foto su fotocommunity
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Image et poème dans les "commentaires" situent très bien ton niveau, ta qualité de créateur et d'écrivain, j'aime tellement...Et cette femme rêvée répond à la mer, aux vaguelettes qui moussent autour de ses chevilles, en déroulant ses vagues à elle qui ondulent sur ses longs cheveux...Une image qui fait penser (de loin) à une Vénus de peintre italien, une vision personnelle qui en dit beaucoup sur toi, avec tes mots d'hommage à la Femme! Amitiés et compliments, Michèle
Merci Michèle
Oui, je chante,danse et conte la féminité.
Je la sens si unie à la création, à la Nature.
Écrivaine je ne pense pas , je conte ...Je conte seulement.
Je conte par les mots,la voix, les formes, les couleurs, le geste.
Je conte la nature, l' homme, la femme...La vie!
Merci encore , tes mots m' encouragent sur le chemin ...
Quel poète n’a pas chanté ta beauté
Ô Femme, mère, épouse ou maîtresse
Quel écrivain n’est pas tombé
Entre tes bras accueillants
Séduit par tes sourires
Par tes yeux couleurs de rêve
Envoûté par les charmes
Que la nature t’a offerts ?
Sais-tu ton pouvoir unique
Sur celui qui du bout de sa plume
Dessine sans cesse des lettres
Sur un papier vierge
Ô Femme, tu n’es jamais loin
De son encre et de ses désirs
Toujours, tu es présente
Dans les recoins de son âme
Dans son cerveau
Tu déclenches des tempêtes
Tu troubles si joliment
Son esprit romantique
Tu es vague impétueuse
Lorsqu’il pose les mots
Du texte qu’il te destine
Il est tempête lorsqu’il t’imagine
Le poète n’existe guère sans toi
Tu es l’image de l’amour
Tu es sa muse et son espérance
Tu es sa joie et sa torture
Sa source limpide et fraîche
Son astre du jour toujours brûlant
Tu es son lac apaisant
Sa victoire et sa défaite
Il ne supporte de tes larmes
Que celles de ton bonheur
Et s’il désire que tu trembles
C’est en livrant ton corps
Aux délices sans pareils
Du corps à corps
Des cris ou murmures
Des amants de toujours
Ô Femme éternelle
Que serait son art
Si la nature ne t’avait faite
Si troublante,
Chaude ou froide
Femme toujours
Douce ou violente
Mais Femme à jamais
Tu changes de registre ! La femme araignée s'est métamorphosée, comme quoi il faut se méfier des apparences ! Et bien oui le bateau va s'échouer dans la toile qu'elle a tissée !
Lilith, Eve, Pandore, Dalila!!!
Les femmes sont moins démoniaques que le refrain chanté par les hommes depuis si longtemps
Comme notre " autre côté" les femmes errent, cherchent,veulent tellement trouver une main accompagnante sur ce chemin ici bas!
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Fernando Anzani 08/12/2020 21:50
Le corps de la femme comme ouvre d' art. Une excellente interprétation. Ciao. Fernando.Michèle FLEURY 09/09/2020 10:22
Image et poème dans les "commentaires" situent très bien ton niveau, ta qualité de créateur et d'écrivain, j'aime tellement...Et cette femme rêvée répond à la mer, aux vaguelettes qui moussent autour de ses chevilles, en déroulant ses vagues à elle qui ondulent sur ses longs cheveux...Une image qui fait penser (de loin) à une Vénus de peintre italien, une vision personnelle qui en dit beaucoup sur toi, avec tes mots d'hommage à la Femme! Amitiés et compliments, Michèlejancograph 02/09/2020 14:22
A part ce que tu sais, ce montage est agréable et la poésie le complète bien.Fan vaga 02/09/2020 9:50
Quel poète n’a pas chanté ta beautéÔ Femme, mère, épouse ou maîtresse
Quel écrivain n’est pas tombé
Entre tes bras accueillants
Séduit par tes sourires
Par tes yeux couleurs de rêve
Envoûté par les charmes
Que la nature t’a offerts ?
Sais-tu ton pouvoir unique
Sur celui qui du bout de sa plume
Dessine sans cesse des lettres
Sur un papier vierge
Ô Femme, tu n’es jamais loin
De son encre et de ses désirs
Toujours, tu es présente
Dans les recoins de son âme
Dans son cerveau
Tu déclenches des tempêtes
Tu troubles si joliment
Son esprit romantique
Tu es vague impétueuse
Lorsqu’il pose les mots
Du texte qu’il te destine
Il est tempête lorsqu’il t’imagine
Le poète n’existe guère sans toi
Tu es l’image de l’amour
Tu es sa muse et son espérance
Tu es sa joie et sa torture
Sa source limpide et fraîche
Son astre du jour toujours brûlant
Tu es son lac apaisant
Sa victoire et sa défaite
Il ne supporte de tes larmes
Que celles de ton bonheur
Et s’il désire que tu trembles
C’est en livrant ton corps
Aux délices sans pareils
Du corps à corps
Des cris ou murmures
Des amants de toujours
Ô Femme éternelle
Que serait son art
Si la nature ne t’avait faite
Si troublante,
Chaude ou froide
Femme toujours
Douce ou violente
Mais Femme à jamais
© Jean Dornac
Paris, le 21 février 2011
Stinglhamber 01/09/2020 22:00
Tu changes de registre ! La femme araignée s'est métamorphosée, comme quoi il faut se méfier des apparences ! Et bien oui le bateau va s'échouer dans la toile qu'elle a tissée !