tous les champs sont ouverts (?)
Scan vom Dia, kein Schnitt, keine Tonwerte, oder andere Bearbeitung, aber geschärft
vor 30 Jahren in Frankreich, keine Ahnung wo.
Nur um mein Lieblingszitat von Marguerite Duras zu verwenden. Wahrscheinlich habe ich wegen ihr und Modiano und und... Französisch studiert.
Ça n’existe pas. Il n’y a jamais de centre. Pas de chemin, pas de ligne. Il y a de vastes endroits où l’on fait croire qu’il y avait quelqu’un, ce n’est pas vrai il n’y avait personne. L’histoire d’une toute petite partie de ma jeunesse je l’ai plus ou moins écrite déjà, enfin je veux dire, de quoi l’apercevoir, je parle de celle-ci justement, de celle de la traversée du fleuve. Ce que je fais ici est différent, et pareil. Avant, j’ai parlé des périodes claires, de celles qui étaient éclairées. Ici je parle des périodes cachées de cette même jeunesse, de certains enfouissements que j’aurais opérés sur certains faits, sur certains sentiments, sur certains événements. J’ai commencé à écrire dans un milieu qui me portait très fort à la pudeur. Écrire pour eux était encore moral. Écrire, maintenant, il semblerait que ce ne soit plus rien bien souvent. Quelquefois je sais cela : que du moment que ce n’est pas, toutes choses confondues, aller à la vanité et au vent, écrire ce n’est rien. Que dumoment que ce n’est pas, chaque fois, toutes choses confondues en une seule par essence inqualifiable, écrire ce n’est rien que publicité.Mais le plus souvent je n’ai pas d’avis, je vois que tous les champs sont ouverts, qu’il n’y aurait plus de murs, que l’écrit ne saurait plus où se mettre pour se cacher, se faire, se lire, que son inconvenance fondamentale ne serait plus respectée, mais je n’y pense pas plus avant.
Ich denke, sie spricht von sich selber und nicht von andern Menschen, die nicht existierten.
Wenke Fronsdal 12/04/2012 17:49
gesperrt.einfach schöne
lg
wenke
larisa fedotova 12/04/2012 0:45
Die ausgezeichnete Fotografie! Mir hat sehr gefallen!Heidi Schneider 12/04/2012 0:30
Mit welcher Kraft er sich auch auf die rechte Seite warf, immer wieder schaukelte er in die Rückenlage zurück. Er versuchte es wohl hundertmal, schloß die Augen, um die zappelnden Beine nicht sehen zu müssen, und ließ erst ab, als er in der Seite einen noch nie gefühlten, leichten, dumpfen Schmerz zu fühlen begann. »Ach Gott«, dachte er, »was für einen anstrengenden Beruf habe ich gewählt!Alfons Gellweiler 12/04/2012 0:23
Das Foto hat was. So gewichtig links, so licht rechts,aber versperrt durch diese Kette. Ein wenig kafkaesk
wirkt es auf mich.
Grüße
Alfons